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Beskrivelse
... Je n'ai rien dire de la peinture historique, au moins de celle qui doit peupler les galeries. Si le salon doit offrir notre curiosit de grandes pages pittoresques emprunt es l'histoire, je ne les connais pas. Il faut excepter de cette n gation les plafonds du mus e Charles X., qui, par leur tendue, les sujets de composition, leur place, et le nom des artistes qui les ont sign s, ont une r elle importance. Mais la consigne du Louvre est trop s v re, pour que nous ayons pu contempler loisir l'oeuvre de MM. Eug ne Dev ria, Schnetz, Allaux, Gros, etc. Les privil gi s, ceux qui ont t assez heureux pour p n trer, s'accordent vanter l' l gance et la richesse de ces d corations. Il faut remercier l'administration d'avoir consult pour le choix des ornements, pour le style des voussures, pour le caract re des m daillons, des hommes sp ciaux, tels que M. Visconti. Les coquetteries maigres et mesquines du go t imp rial ont bien fait de s'effacer devant les tudes s rieuses et pr cises. - Nous avons toujours t d'avis qu'il fallait restituer ou inventer en pareil cas. Les dessins de M. Percier, malgr la finesse et la sobri t qu'on ne peut leur refuser, n'auraient pas signifi grand'chose dans les salles qui pr tendent reproduire les diff rents ges de l'art. Or, toutes les fois que les ornements ne concourent pas l'effet, il arrive qu'ils font tache...