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Beskrivelse
" Cet opuscule devrait tre lu, avant la Cl de Rabelais. Il touche l' sot risme du Moyen ge et projette quelque clart sur des points que n'aper oit m me pas l'historien ad usum Delphini. Le secret des corporations est un testament rationaliste o le Latin d sabus range la Divine Providence parmi les Muses, et se propose de parcourir honn tement une existence d sormais sans autre vision que celle de l'art. Avant de chercher le mot de la dive bouteille, notre anc tre ing nu et h ro que chercha le Saint-Graal. Il s'appelait Parsifal au temps de son enthousiasme. Vaincu il se nomme Don Quichotte; tel est le secret des troubadours. Jamais, plus rayonnant po me de foi d'esp rance et de charit ne fut con u. Le fait apporte son t moignage au r ve. Godefroy de Bouillon et saint Fran ois d'Assise sont les deux faces de ce splendide essor de l' me latine. Il appartenait Mistral, l'immortel Proven al, de d voiler, dans tout son primitif clat la pens e du Rh ne. Cette pens e a re u du Dante, Michel-Ange de la po sie, une forme tellement obscure qu'il faut la d couvrir dans l'esprit m me du Moyen ge et c'est l'objet du premier chapitre. La figure de Parsifal r unit la fois les traits eccl siaux des Fr res Mineurs et ceux politiques des Templiers. Toute notre litt rature du XIe au XVe si cle fut consacr e l'id al de Fr re Fran ois et de Hugues de Payns. Les troubadours sont des mystiques, et non des lyriques sexuels. Quant Cervant s, il a voqu une derni re fois l'id al de notre race sous une forme d sesp r e, et dont le comique n'est qu'un masque..."