Les Phoinissiennes

la t te d'une arm e puissante, Polynice arrive d'Argos pour reprendre le pouvoir sur la ville de Th bes, conform ment un accord de r gne tournant conclu avec son fr re. t ocle refuse de lui rendre le tr ne, et ce, malgr une ultime tentative de conciliation men e par Jocaste. Avant le combat, t ocle confie son oncle Cr on, fr re de Jocaste, la conduite de la ville et lui demande de chercher conseil aupr s du devin Tir sias. Enfin, il interdit que le corps de Polynice repose en terre th baine. Tir sias d clare Cr on que la ville sera sauv e si son fils, M n c e, est sacrifi . Cr on refuse d'accomplir ce sacrifice et pr pare la fuite de son fils. Cependant, celui-ci se sacrifie, conscient de l'importance de sauver la ville. Le combat tourne l'avantage des Th bains et l'assaut argien contre les murailles est repouss . t ocle propose alors un combat singulier Polynice. Les deux fr res s'entretuent. Jocaste et Antigone, averties du combat, arrivent trop tard. Jocaste, de d sespoir, se suicide sur les corps de ses fils. Antigone ram ne les trois d pouilles devant le palais royal. L , au comble du d sespoir, elle appelle son aide OEdipe qui sort du palais. Cr on alors rappelle l'ordre d' t ocle interdisant des fun railles Polynice et ordonne OEdipe de quitter d finitivement Th bes, le consid rant comme la cause de tous les malheurs s' tant abattus sur la ville. Antigone proteste et, tenant t te Cr on, affirme qu'elle donnera une s pulture Polynice, d t-elle en mourir, et accompagnera son p re en exil.